Prise de parole dans les syndicats

Je voudrais échanger ici sur la question de la prise de parole à l'intérieur des syndicats, où aucune démocratie réelle n'existe pour l'heure.
Y a-t-il sur ce forum des délégués ou des syndiqués de base ?
Les seules organisations susceptibles de résister efficacement à la destruction sociale organisée sont dirigées, pour l'heure, par des européistes fanatiques intégrés au Système, qui remplacent l'écoute de la base par un discours pseudo révolutionnaire inspiré du PTB, avec force slogans globalistes rédigés en anglais la plupart du temps.
Comment faire entendre notre voix, celle de la base ?
La question est complexe et mérite débat.

La question est vide de sens, elle revient à revendiquer plus de liberté dans les prisons.
C'est un système par et pour lui-même.
L'organisation du travail des masses et la valeur monétaire sont caduques, et socialement, seule prévaut l'adaptabilité au milieu, localement en micro sociétés
de max 100 individus.
Le reste c'est du fascisme pur, des théories de tyrans psychopathes (écriture).
Le processus civilisationnel n'est certes pas nouveau, ni géocentré, mais celui qui domine le monde aujourd'hui, c'est le notre (heure, techniques, sciences et politiques appliquées globalement aux masses)!

Merci de cette réponse de quelq'un qui, visiblement, connaît bien le monde du travail.

En effet, j'ai commencé à bosser en boulangerie-pâtisserie à l'age de 13ans pour avoir de l'argent de poche, puis, agriculture, resto/bar/spectacle, figurant, vente de fringues de luxe(salaire +40% dès le 2e mois),vente de chaussures produites en Europe, étalagiste, télévente "scientologique", montage de scènes, vente et conseil dans le bio, employé administratif, assistant aux archives de l'ulb etc.. le tout ponctué de nombreux projets artistiques personnels (design d'objets, bijouterie, graphisme, photo...)... jamais syndiqué, on m'a bien viré, mais jamais volé ou manqué de respect! (procédure/avocat/tribunal/indemnité systématique).